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Bouillé-Ménard. Un élevage de porcs plus moderne et moins énergivore

Le Gaec Lambert-Foulier, à 10 km de Segré, a investi dans la modernisation de son élevage, pour dépenser moins d'énergie, améliorer le bien-être des porcs et leur prix de vente.

Aux Paluelles, Christiane et Thierry Lambert ont modernisé leur exploitation porcine avec un nouveau bâtiment labellisé « Nouvelle Agriculture ». Les salles de post-sevrage incluent des niches et des tapis pour réduire les consommations d'énergie.
Aux Paluelles, Christiane et Thierry Lambert ont modernisé leur exploitation porcine avec un nouveau bâtiment labellisé « Nouvelle Agriculture ». Les salles de post-sevrage incluent des niches et des tapis pour réduire les consommations d'énergie. |
  • Aux Paluelles, Christiane et Thierry Lambert ont modernisé leur exploitation porcine avec un nouveau bâtiment labellisé « Nouvelle Agriculture ». Les salles de post-sevrage incluent des niches et des tapis pour réduire les consommations d'énergie.
    Aux Paluelles, Christiane et Thierry Lambert ont modernisé leur exploitation porcine avec un nouveau bâtiment labellisé « Nouvelle Agriculture ». Les salles de post-sevrage incluent des niches et des tapis pour réduire les consommations d'énergie. |
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    Aux Paluelles, Christiane et Thierry Lambert ont modernisé leur exploitation porcine avec un nouveau bâtiment labellisé « Nouvelle Agriculture ». Les salles de post-sevrage incluent des niches et des tapis pour réduire les consommations d'énergie. |
  • Christiane, Thierry et Thibault Lambert avec leurs salariés.
    Christiane, Thierry et Thibault Lambert avec leurs salariés. |

Avec son mari Thierry, Christiane Lambert faisait visiter vendredi 22 janvier cet « hôtel » dernier cri, destiné au post-sevrage et à l'engraissement des porcelets. Il aura fallu six mois pour le construire, mais deux ans et demi de formalités. Les premiers animaux y sont entrés le 30 décembre.

Avec le nouveau bâtiment de 1 600 m2, il n'y aura pas beaucoup plus de porcelets à naître, mais ils resteront plus longtemps sur l'exploitation. « L'objectif est de tout vendre en porc charcutier », plus rémunérateur.

Cette extension s'est avérée moteur pour revoir foncièrement les pratiques d'élevage et « anticiper les problématiques sanitaires et de bien-être de l'animal ». Le projet de Christiane et Thierry Lambert a été accompagné techniquement et financièrement par Terrena, qui labellise les élevages « Nouvelle Agriculture ». Cette démarche encourage des pratiques agricoles alternatives (alimentation, origine des matières premières, bien-être...) qui justifient la valeur ajoutée auprès du consommateur (goût, qualité).

A lire samedi 23 janvier dans Le Courrier de l'Ouest, édition Nord Anjou.

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